Une barbarie contre des dauphins caldérones, des dauphins très intelligents et sociables qui s'approchent des gens par curiosité.. |
JC Laborde
La chasse aux glocicéphales, énormes cétacés de la famille des dauphins est pratique depuis le XVI ème siècle
Les Iles Féroé se vantent d'être restées «simples» et «authentiques». De fait, la civilisation n'a apparemment pas réussi à «pervertir» ses habitants qui, chaque année, font preuve d'une barbarie très simple et très authentique… en massacrant des dauphins. (Anna Alter- Marianne)
Cet évènement est comparable à la barbarie pratiquée dans les arènes à l'encontre des taureaux, barbarie que les amateurs de cette torture veulent pérénniser en l'inscrivant au patrimoine immatériel de l'UNESCO (lire notre article précédent UVTF, Corridas et UNESCO).
Aux îles Féroé on torture, on massacre, là aussi au nom de la tradition (celle-ci dae du moyen âge paraît il...) à tel point que les enfants sont mis spécialement en congés afin de pouvoir assister (ou participer) à ce cauchemard ! Cette "tradition" est censée marquer le passage à l'âge adulte des jeunes féringiens. Chaque année 1500 de ces animaux marins sont ainsi trucidés, massacrés. Les dauphins, hurlant de douleur, meurent après une lente agonie.
Tout comme les images d'une corrida, celles-ci sont terrifiantes et bien réelles et sont toujours d'actualité. Ce sont les images de la barbarie "humaine", sans artifice, sans habit de lumière et sans musique, qui nous rappellent, comme le dit le juge Gérard Charollois, que le processus d'homminisation n'est nullement terminé.
Comme pour les corridas il ya un public friant de torture et de sang qui participe par procuration à la tuerie des animaux. Et comme dans les arènes il s'agit de torture, de massacre et de sang... | |
Une mer de sang, de celui des dauphins bien sûr. Quelle honte | |
Ça se passe de commentaire... | |
Les barbares fiers | |
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